la femme-oiseau est le chant nouveau encore liquide que je bois, au-delà du monde, chez toi, comme la dernière racine qui se nourrit d'Absolu, comme le livre de géométrie qui m'apprend le point, la ligne et l'infini, chez toi.
la femme-oiseau dessine la sphère ouverte de l'infini sur ma peau.
semence liquide qui saigne d'autres Possibles que les sens ignorent. Avenir plutôt que Néant: diriger mes pas vers l'Inachevé.
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