je dis: une fleur et l'idée de pétale me brûle les yeux et perce le creux de mes mains.
Les mots ne vont nulle part. C'est moi qui s'égare et se retrouve devant toutes les portes nocturnes et le souvenir d'être heureux me touche et me dérange et me désaltère soudainement. Tout souvenir de printemps est pareil à la chair de la femme. Et pourtant les catastrophes se succèdent calmement. Il n'y a pas assez de femmes nues au monde. C'est pourquoi tout sera perdu.
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